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Fullmasters a écrit : Je me suis refait après des année sans l'avoir touché le premier Dragon Ball Budokai Tenkaichi.

Pour un première épisode c'est franchement pas mal, beaucoup de perso (même si beaucoup se ressemble dans le game play et attaque) , mode histoire simple mais efficace et  complet.
Vraiment pour lancer la série c'est pas mal .
Après il n'est pas au niveau du 2 et 3 mais pour une redécouverte j'ai apprécié .  

Manuwaza a écrit : L'immersion était effectivement dingue avec ce nouveau gameplay, le simple fait de pouvoir se cacher dans les environnements, sentir les énergies pour repérer l'autre... On avait l'impression de pouvoir revivre la partie de cache cache sur Namek !

Après, passer après Budokai 3 était quand même délicat et niveau contenu, ce premier Tenkaichi m'avait laissé sur ma faim car il y avait un gros pas en arrière sur ce plan. Je crois qu'on ne pouvait même plus se transformer en combat,  ce qui était quand même l'un des (nombreux) gros points forts des Budokai...

oceloto a écrit : Je viens de finir Otogirisou. (J'ai vu que le cartmod était disponible depuis peu sur la boutique de hedge).

Il s'agit d'une sound novel. La première du genre et c'est sur snes que cela se passe. (j'espère ne pas me tromper).

C'est  jeu essentiellement textuel mais sans intéraction avec l'environnement, comme c'est le cas dans un phoenix wright ou autre.

Comme son nom l'indique, le jeu va surtout se basé sur la qualité sonore de la snes pour vous faire vivre une aventure effrayante. Je peux vous dire que le parie est réussi, jouer dans le noir et sans bruit parasite car vous allez être happé dans cette atmosphère pesante, intrigante et pleine d'effroi.

Je ne vais pas spoiler l'intrigue car c'est le coeur du jeu mais sachez que vous serez enfermé dans un manoir avec votre copine après un mystérieux accident de la route.

Au niveau des graphismes, le jeu vous présente des environnement comme des salles à manger, un hall d'entrée, des couloirs, mais également des gros plan sur des objets comme des poupées, une serrure etc. Le pixel art est correctement réalisé mais on aurait aimé avoir plus de détail, quelques chose de plus "patiné" , là je trouve que c'est un peu lisse et que cela manque de finition, et cela aurait été idéal afin de vous plonger encore plus dans cette univers.

Par contre au niveau sonore, je ne m'attendais pas à cela. je savais que la snes avait une belle qualité sonore mais là j'ai été très surpris, que ce soit des portes qui grincent, le son de la pluie, ou des sons "strident" pour vous signaler un danger, c'est vraiment fait avec une très grande qualité.

Le jeu reste quand même "un jeu de lecture" mais accompagné avec une ambiance sonore qui concorde parfaitement avec le cheminement de notre aventure et des graphisme dans le ton bien que j'aurais aimé quelques chose de plus poussé.

Il y a plusieurs fins différentes. Le jeu sauvegarde automatiquement, après chaques ligne de texte (il y a un peu plus de 300 pages). Par contre le jeu est entièrement en anglais. Il faudra un petit dictionnaire pour certains mots mais la compréhension globale est facile.

J'ai connu ce jeu en 98, je n'avais plus ma super Nintendo que j'avais vendue pour une PS1.

M-i-ka a écrit : Mon dernier jeu terminé : SECRET OF MANA.

J'ai connu ce jeu en 98, je n'avais plus ma super Nintendo que j'avais vendue pour une PS1. À cette période je jouais à FF7. Un de mes amis qui ne pouvait pas avoir les consoles nextgen de cette époque, me fait découvrir Secret of Mana, en me le décrivant je cite:

"C'est un peu comme Zelda mais en mieux. On peut jouer à 3 et tout, c'est trop bien... mais je n'ai qu'une manette qui fonctionne bien"

Du coup, j'ai testé et j'ai trouvé le jeu sympa. Les années ont passé, les générations de console aussi, mais je me disais toujours qu'il faudrait que je me fasse ce jeu.

2010, je me rachète une super Nintendo avec quelques jeux pour 30 balles. Les années d'après, je trouve Secret of Mana en boîte pour 40€ et je me le prends, prêt à enfin pouvoir le faire sur la SNES et un bon vieux CRT.

Je commence une partie et je suis rapidement transporté.
Pour ceux qui connaissent, j'ai joué jusqu'à la Forêt ensorcelée.

 Et je ne saurais pas l'expliquer, je me suis dit qu'il fallait que je fasse ce jeu en multi et pas solo comme je suis en train de le faire. Et de là j'ai arrêté de jouer. Avec une prise de décision. Le jour où j'aurai des enfants, je découvrirai ce jeu avec eux. Et c'est ce que j'ai fait plus de 10 ans après cette première partie solo.

Je me suis procuré la version CardMod de Secret of Mana avec la dernière traduction par le biais de Hedge et c'était parti pour l'aventure.

Nous avons parcouru l'aventure tous les 3 jusqu'à la libération d'Athanor. Ces moments étaient incroyables.


Mais, je pense qu'ils étaient encore un peu jeunes pour pouvoir persévérer aussi longtemps dans une aventure vidéoludique. Ils m'ont finalement abandonné à mon triste sort et de temps en temps l'un ou l'autre reprenait une manette et jouait un peu, mais pas plus.
 Maintenant j'apprécie trop le jeu pour arrêter, et j'ai continué l'aventure seul jusqu'au bout.

Et je n'ai pas étais déçu.
Le monde de Secret of Mana est vaste et diversifié, avec des environnements allant des forêts luxuriantes aux déserts arides, en passant par des cités volantes et des donjons mystérieux. Chaque zone est peuplée de créatures fantastiques et d'ennemis redoutables.
Le système de combat est l’un des points forts du jeu.

 On peut se déplacer librement et attaquer directement les ennemis.  Randi, Primm, et Popoi,  ayant chacun des compétences spécifiques et évolutives.

Primm et Popoi peuvent utiliser les attaques physiques,
pour infliger des dégâts optimaux, le joueur doit attendre que cette barre se recharge à 100 %. Attaquer trop rapidement sans attendre cette recharge réduit considérablement les dégâts infligés.
Et la magie en invoquant les pouvoirs des invocations élémentaires  . Ces sorts varient selon l’élément (feu, eau, terre, etc.) et permettent d’attaquer, soigner ou infliger des altérations d’état.


Les héros augmentent de niveaux, les statistiques des personnages (comme la santé, la magie, l'attaque, etc.) augmentent, renforçant leurs capacités au combat. Et de niveaux d'Armes et de la Magie, les armes et les sorts de chaque personnage peuvent également monter en puissance à mesure qu'ils sont utilisés. Chaque arme a un "niveau de maîtrise" et devient plus puissante avec l’usage, débloquant de nouvelles attaques chargées.
Le héros ne peut pas utilisé de magie par contre.

Bien que Secret of Mana soit  un jeu coloré et fantastique, il aborde des thèmes plus matures et profonds. Le monde est plongé dans un déséquilibre à cause de l’abus du pouvoir du Mana. Le jeu met en lumière des sujets comme la perte, le sacrifice et la destruction environnementale.

  Le personnage de *Thanatos*, l'antagoniste principal, incarne ces thèmes. Sorcier manipulateur et immortel, il cherche à prendre possession de corps humains pour prolonger son existence, n'hésitant pas à utiliser les autres comme des outils pour ses propres ambitions. Son obsession pour l’immortalité et son mépris de la vie humaine ajoutent une dimension sombre à l’histoire, surtout lorsque ses actions touchent directement les héros.

L'OST est adapté aux lieux et scènes vécus par les héros. De plus, je remarque une nette amélioration des musiques tout au long du jeu.

En conclusion Secret of mana reste à ce jour un chef-d’œuvre incontournable, non seulement pour les nostalgiques de l’époque Super Nintendo, mais aussi pour les amateurs de RPG modernes. Son mélange unique de combats en temps réel, de gestion stratégique, et de coopération multijoueur a inspiré de nombreux jeux par la suite. Ajoutez à cela une histoire poignante, des personnages attachants, et une bande-son inoubliable, et vous obtenez une expérience qui continue de captiver les joueurs, plus de 30 ans après sa sortie.
Encore merci le Hedge pour cette version de QALITEY.