Dernier jeu terminé

[Manuwaza]

C'est vrai qu'avec une dizaine d'heures pour le 100%, ça s'intercale parfaitement entre deux gros jeux^^

[Manuwaza]

Bon, dans la foulée d'Until Dawn, j'ai enchaîné sur un autre jeu du même studio que j'avais en stock : The Quarry. Je m'attendais naïvement à vivre une expérience comparable... Quelle ne fut pas ma déception ! Avis sans spoil.

Le pitch pour commencer. On débute en suivant deux jeunes embauchés pour travailler tout l'été à la colo de Hackett's Quarry. En avance d'un jour, ils décident de passer leur première nuit là-bas avant de débuter leur contrat le lendemain. Personne ne les reverra… Deux mois plus tard, la période estivale prend fin et tout le groupe d'animateurs se voit contraint de passer une nuit supplémentaire sur place suite à une panne de voiture. Contre l'avis du patron des lieux (joué par David Arquette au passage) qui leur avait recommandé de ne pas quitter le chalet, ils décident de faire une fête autour d'un feu de camp. Le début d'une nuit d'horreur...

L'aventure commençait bien : le prologue est excellent, et laissait déjà entrevoir une ambiance aussi fantastique qu'Until Dawn soutenue par une technique de haute volée. Seulement, après ce prologue, tout déraille ! En effet, là où Until Dawn nous envoyait sur une fausse piste avant de nous introduire petit à petit un gros rebondissement qui dévoilait la véritable menace, celle ci est révélée dès le début du jeu ici, ce qui détruit toute tension. Dans un film d'horreur, ne pas montrer est plus efficace que de tout balancer à la tronche du spectateur et ce précepte de base semble avoir été oublié.

Ensuite, dans les interactions, rien ne va ! Les QTE qui exploitaient 4 touches + les directions dans Until Dawn se limitent aux seules directions dans The Quarry. C'est trop peu ! L'exploitation du gyroscope de la manette pour jouer les séquences où il faut rester scrupuleusement immobile, laissent ici la place à un système où il est nécessaire de retenir sa respiration, mais ça ne brise plus le 4ème mur et ça diminue par conséquent l'implication du joueur. Enfin, à de nombreuses reprises, les choix n'en sont pas réellement puisque si on choisit l'option qui ne fait pas avancer l'histoire, le jeu décide arbitrairement de sélectionner la bonne dans un second temps...

Et ce n'est pas le pire. Techniquement, le jeu est très beau mais a un gros souci de gestion de la luminosité. On se retrouve donc avec des passages où l’on ne voit strictement rien (ce n'est pas volontaire), et d'autres ubuesques où un personnage est censé être caché dans l'ombre, mais est parfaitement visible avec un ennemi placé à 2m qui regarde dans sa direction sans le repérer ! Gros souci sur les angles de caméra aussi, savamment choisis dans Until Dawn, mais qui ici laissent quasiment tout le temps la place à une vue de dos : perte d'ambiance, et surtout d'ergonomie puisque la caméra est trop proche et que de fait, le personnage bouche la visibilité.

Mais le pire, ce sont les bugs, et là c'est un festival ! Mauvaise balance audio (parfois on n'entend même pas les dialogues), synchronisation labiale aux fraises, textures foireuses (j'ai en tête un passage dans un lac où deux personnages s'éclaboussent, et où l’on a l'impression qu'ils s'aspergent de pétrole ! ), cheveux qui se mettent à bouger n'importe comment dans une scène censée être tendue et m'ont fait pouffer de rire, personnages qui à chaque début de chapitre répètent deux fois la même phrase, loadings incessants, faux raccords, lags... Bordel, mais comment on peut sortir un jeu aussi mal fini ? Le pire c'est que le soft m'a téléchargé 21go de patch avant que je puisse jouer (taille totale du jeu = 50go pour info) ! On se demande bien ce que ça aurait donné sans ces correctifs !

J'ajoute tout un tas de trucs qui m'ont totalement fait sortir de l’aventure, comme des personnages insensibles à la douleur (dans The Quarry, tu perds un œil ou une main, eh bien un simple bandage et tu repars à la guerre comme si de rien n'était), des persos qui nagent des plombes mais ont toujours leurs téléphones qui fonctionnent en sortant de l'eau...

Donc oui, immense déception d'autant que le jeu a un réel potentiel ce qui rend d’autant plus frustrant le résultat quand on pense à ce qu’il aurait pu être. L'histoire est géniale mais ultra mal racontée, l'ambiance et la technique top mais gâchées par les bugs... C'est dommage, on aurait pu avoir le digne successeur d'Until Dawn, et au lieu de ça on a un énième titre mal fini. J'aurais pété un câble si je l'avais payé 70 balles ! On a du mal à croire que c'est la même équipe qui avait pondu la masterclass Until Dawn. Et on a aussi du mal à comprendre comment le jeu a pu être aussi bien noté partout ! 17/20 sur JVC, 8/10 sur Gameblog, 16/20 sur jeuxactu, même 7/10 sur Gamekult ? Mais comment c’est possible avec autant de défauts ne serait-ce que sur le point objectif des bugs rencontrés ?

[St Medard]

Bon, dans la foulée d'Until Dawn, j'ai enchaîné sur un autre jeu du même studio que j'avais en stock : The Quarry. Je m'attendais naïvement à vivre une expérience comparable... Quelle ne fut pas ma déception ! Avis sans spoil.

Le pitch pour commencer. On débute en suivant deux jeunes embauchés pour travailler tout l'été à la colo de Hackett's Quarry. En avance d'un jour, ils décident de passer leur première nuit là-bas avant de débuter leur contrat le lendemain. Personne ne les reverra… Deux mois plus tard, la période estivale prend fin et tout le groupe d'animateurs se voit contraint de passer une nuit supplémentaire sur place suite à une panne de voiture. Contre l'avis du patron des lieux (joué par David Arquette au passage) qui leur avait recommandé de ne pas quitter le chalet, ils décident de faire une fête autour d'un feu de camp. Le début d'une nuit d'horreur...

L'aventure commençait bien : le prologue est excellent, et laissait déjà entrevoir une ambiance aussi fantastique qu'Until Dawn soutenue par une technique de haute volée. Seulement, après ce prologue, tout déraille ! En effet, là où Until Dawn nous envoyait sur une fausse piste avant de nous introduire petit à petit un gros rebondissement qui dévoilait la véritable menace, celle ci est révélée dès le début du jeu ici, ce qui détruit toute tension. Dans un film d'horreur, ne pas montrer est plus efficace que de tout balancer à la tronche du spectateur et ce précepte de base semble avoir été oublié.

Ensuite, dans les interactions, rien ne va ! Les QTE qui exploitaient 4 touches + les directions dans Until Dawn se limitent aux seules directions dans The Quarry. C'est trop peu ! L'exploitation du gyroscope de la manette pour jouer les séquences où il faut rester scrupuleusement immobile, laissent ici la place à un système où il est nécessaire de retenir sa respiration, mais ça ne brise plus le 4ème mur et ça diminue par conséquent l'implication du joueur. Enfin, à de nombreuses reprises, les choix n'en sont pas réellement puisque si on choisit l'option qui ne fait pas avancer l'histoire, le jeu décide arbitrairement de sélectionner la bonne dans un second temps...

Et ce n'est pas le pire. Techniquement, le jeu est très beau mais a un gros souci de gestion de la luminosité. On se retrouve donc avec des passages où l’on ne voit strictement rien (ce n'est pas volontaire), et d'autres ubuesques où un personnage est censé être caché dans l'ombre, mais est parfaitement visible avec un ennemi placé à 2m qui regarde dans sa direction sans le repérer ! Gros souci sur les angles de caméra aussi, savamment choisis dans Until Dawn, mais qui ici laissent quasiment tout le temps la place à une vue de dos : perte d'ambiance, et surtout d'ergonomie puisque la caméra est trop proche et que de fait, le personnage bouche la visibilité.

Mais le pire, ce sont les bugs, et là c'est un festival ! Mauvaise balance audio (parfois on n'entend même pas les dialogues), synchronisation labiale aux fraises, textures foireuses (j'ai en tête un passage dans un lac où deux personnages s'éclaboussent, et où l’on a l'impression qu'ils s'aspergent de pétrole ! ), cheveux qui se mettent à bouger n'importe comment dans une scène censée être tendue et m'ont fait pouffer de rire, personnages qui à chaque début de chapitre répètent deux fois la même phrase, loadings incessants, faux raccords, lags... Bordel, mais comment on peut sortir un jeu aussi mal fini ? Le pire c'est que le soft m'a téléchargé 21go de patch avant que je puisse jouer (taille totale du jeu = 50go pour info) ! On se demande bien ce que ça aurait donné sans ces correctifs !

J'ajoute tout un tas de trucs qui m'ont totalement fait sortir de l’aventure, comme des personnages insensibles à la douleur (dans The Quarry, tu perds un œil ou une main, eh bien un simple bandage et tu repars à la guerre comme si de rien n'était), des persos qui nagent des plombes mais ont toujours leurs téléphones qui fonctionnent en sortant de l'eau...

Donc oui, immense déception d'autant que le jeu a un réel potentiel ce qui rend d’autant plus frustrant le résultat quand on pense à ce qu’il aurait pu être. L'histoire est géniale mais ultra mal racontée, l'ambiance et la technique top mais gâchées par les bugs... C'est dommage, on aurait pu avoir le digne successeur d'Until Dawn, et au lieu de ça on a un énième titre mal fini. J'aurais pété un câble si je l'avais payé 70 balles ! On a du mal à croire que c'est la même équipe qui avait pondu la masterclass Until Dawn. Et on a aussi du mal à comprendre comment le jeu a pu être aussi bien noté partout ! 17/20 sur JVC, 8/10 sur Gameblog, 16/20 sur jeuxactu, même 7/10 sur Gamekult ? Mais comment c’est possible avec autant de défauts ne serait-ce que sur le point objectif des bugs rencontrés ?

Je te rejoins sur ton avis global en te remerciant pour ces détails!

J'avais acquis le titre quelques semaines après sa sortie pour un peu moins de 50€ sur PS5. Tout comme toi j'avais été très emballé par Until Dawn sur les possibilités du titre en tant que jeu narratif.

En dépit de certains retours sur The Quarry étant moins réussi qu'Until Dawn, j'ai tout de même voulu tenter l'expérience vu que l'histoire s'inspire de films de slasher.

Tout ce qu'avait apporté Until Dawn a globalement disparu et même le gameplay est inférieur à ce dernier notamment lors des scènes d'armes à feu. De plus, dans mes souvenirs, il y avait un gros soucis sur la sélection des chapitres du jeu t'obligeant à tout te taper si tu recommences le titre!

La synchro labiale est affreuse...que ce soit en VF ou VO. Personnellement, je ne pense pas que les acteurs soient moins bon que dans Until Dawn mais ont été très mal dirigé et le script n'aide clairement pas.

Je l'ai tout de même platiné pour voir jusqu'où le titre allait et je l'ai revendu dans la foulée contrairement à Until Dawn.

Dans l'ensemble, on se dit que c'est fort dommage car le contexte du slasher était posé (même si c'est maladroit) et que tout n'est pas à jeter. Peut-être qu'il ne s'agissait que d'une simple commande à l'éditeur et que les temps de réalisation étaient justes...

Quant aux notes des sites ou magazines de jeux vidéos, on peut en effet constater que le jeu a évidemment été surnoté montrant une fois de plus que leur crédibilité diminue dans le milieu.

[Manuwaza]

Tout ce qu'avait apporté Until Dawn a globalement disparu et même le gameplay est inférieur à ce dernier notamment lors des scènes d'armes à feu.

Je ne l'ai pas mentionné, mais effectivement la visée est extrêmement désagréable avec une inertie qui est certainement censée figurer le manque de maîtrise des armes à feu de la part des personnages. Mais autant c'est crédible avec Ryan, autant ça ne l'est pas avec Kaitlyn qui nous est présentée comme visiblement entrainée dans le domaine.

De plus, dans mes souvenirs, il y avait un gros soucis sur la sélection des chapitres du jeu t'obligeant à tout te taper si tu recommences le titre!

Vrai également ! Dès que tu relances un chapitre et que tu effectues un choix (qui arrive généralement quelques secondes plus tard), tu effaces toute ta progression postérieure à ce choix et tu supprimes même l'option "sélection de chapitre" dans le menu. La seule parade, c'est la sauvegarde manuelle sur une clé USB...

Personnellement, je ne pense pas que les acteurs soient moins bon que dans Until Dawn mais ont été très mal dirigé et le script n'aide clairement pas.

Je ne pense pas non plus, j'ai même trouvé la plupart des acteurs vocaux très convaincants (en français) et ça crée vraiment une personnalité à leurs personnages respectifs. C'est l'ensemble mis bout à bout qui ne fonctionne pas, ça me rappelle un peu les premiers jeux FMV où tous les bouts sont mal raccordés les uns aux autres

Je l'ai tout de même platiné pour voir jusqu'où le titre allait et je l'ai revendu dans la foulée contrairement à Until Dawn.

Pas moi, mais pour une tout autre raison qu'Until Dawn : juste pas eu le courage de tout me retaper pour choper les collectibles, sans même pouvoir zapper les cinématiques, avec le risque de tout devoir encore recommencer si je me plante ne serait-ce qu'une fois dans mes choix...

Dans l'ensemble, on se dit que c'est fort dommage car le contexte du slasher était posé (même si c'est maladroit) et que tout n'est pas à jeter. Peut-être qu'il ne s'agissait que d'une simple commande à l'éditeur et que les temps de réalisation étaient justes...

On ressent effectivement tout le potentiel, dans l'ambiance et l'histoire. Avec le même soin accordé qu'à Until Dawn, il aurait été au moins aussi bon. C'est extrêmement frustrant, j'avais envie de l'aimer ce jeu!

Quant aux notes des sites ou magazines de jeux vidéos, on peut en effet constater que le jeu a évidemment été surnoté montrant une fois de plus que leur crédibilité diminue dans le milieu.

Ça fait bien longtemps qu'ils n'en ont plus. Ça m'étonne toutefois un peu plus de la part de Gamekult...

J'en profite pour te demander : tu as pensé quoi de la trilogie Dark Pictures? Car maintenant j'hésite à l'acheter après une telle douche froide

[Manuwaza]

Bon, je viens de terminer le fameux Hellblade dont j'avais tant entendu parler, et...je suis encore en train de me demander à quoi je viens de jouer...

Le soft nous propose de suivre Senua, qui tente de pénétrer dans le domaine de la déesse de la mort pour ramener son bien-aimé Dillion récemment décédé. Ça, c'est pour le pitch de départ, une histoire qui peut paraître bateau mais qui est soutenue par une ambiance exceptionnelle.

Visuellement, le jeu est vraiment magnifique que ce soit dans les éclairages ou dans les décors, ce qui nous plonge vraiment dans cette aventure teintée de désespoir. En effet, la plupart des environnements sont glauques, vraiment, mettant en avant épaves, ruines, pendus et autres empalés. La bande son n'arrange rien, puisque Senua est en permanence perturbée par des voix intérieures qui peuvent l'aider, ou au contraire tenter de la décourager. Et la combinaison entre ces divers éléments fonctionne admirablement bien, créant une atmosphère malaisante qui nous questionne constamment sur la réalité de ce qu'on est en train de vivre. Est-ce une vraie aventure? Ou est-ce que tout est dans la tête de Senua?

Question gameplay, Hellblade alterne entre deux types principaux de séquences. Le premier consiste en une longue exploration pouvant parfois nous faire passer plusieurs dizaines de minutes sans voir un seul ennemi. On ne s'y ennuie pas pour autant puisqu'en plus d'admirer les splendides paysages, on doit régulièrement résoudre des énigmes plutôt ardues pour certaines. Leur principe, globalement, consiste généralement à modifier la réalité en alignant /superposant des parties de décor pour créer des formes. Par ce biais, on pourra entre autres reconstituer un pont détruit pour ensuite le traverser. Très régulièrement, on rencontre aussi des portails qui, une fois franchis, agissent sur l'environnement en faisant par exemple disparaitre un mur, ou au contraire en créant un escalier. Certaines zones sont vraiment exigeantes pour les méninges, d'autant qu'on peut profiter de cette exploration pour trouver des stèles qui, une fois activées, nous racontent de passionnantes légendes nordiques (et qui sont accessoirement indispensables pour le platine).

Les combats se basent quant à eux sur deux attaques à l'épée (une forte/lente et une faible/rapide), combinables pour réaliser des combos, et un coup de pied pour casser la garde des ennemis dotés d'un bouclier. Côté défensif, on alterne entre esquive et parade, sachant que cette dernière peut donner un bonus dans la contre-attaque si on la place pile au bon moment. En revanche, toutes les attaques ne peuvent pas être parées, attention donc à faire le bon choix. D'une manière générale, les combats sont plutôt agréables bien que pas forcément simples dans le mode de difficulté le plus élevé, avec en prime des boss plutôt coriaces.

Bref, ce n'est clairement pas un jeu parfait (il est notamment assez court), sachant qu'il était à l'époque vendu à petit prix. Mais vraiment, l'ambiance et la technique sont tellement exceptionnelles qu'on le dévore sans modération, a fortiori quand on joue avec un casque ce qui fait encore monter d'un cran l'immersion avec les voix intérieures de Senua qui ne nous quittent jamais. Pour moi, ce jeu est à placer au même niveau que A Plague Tale : un titre qui n'est pas un triple A, développé par une petite équipe, mais qui pourtant est infiniment meilleur que beaucoup de jeux à gros budget et qui propose en prime une expérience sortant de l'ordinaire.

J'attends maintenant la suite. Hors de question que je file du pognon à Mi(es)crosoft en achetant une Series X, mais je pense que je le prendrai sur PC car ce premier volet m'a convaincu.

[Manuwaza]

Ouf, enfin terminé ce Stranger of Paradise : Final Fantasy Origins (après avoir galéré comme pas possible sur le boss de fin) et...ouch, quelle claque !

Le scénario qui parait anecdotique pendant toute l'aventure prend une tout autre tournure dans les dernières heures avec un énorme twist scénaristique. Je ne vais pas en dire plus, et me contenter de ceci : alors que pendant tout le jeu on pense jouer à un remake de FF premier du nom, il n'en est rien !

Malgré ses défauts, je vous le recommande chaudement pour ce scénario et son gameplay vraiment jouissif.

Je vais explorer un peu le endgame, pas impossible que je vous fasse un petit article un peu plus complet sur le forum

[Zamza]

Tu m'intrigues, je vais devoir lui donner sa chance à ce jeu !

Pour moi, il fait partie de ces épisodes annexes que je "dois" faire, avec ff type-0, ff13 Lightning returns etc

[Manuwaza]

C'est frustrant, je ne peux rien dire de plus sur le scénario sans spoiler la grosse surprise^^

Tout ce que je te conseille, c'est de ne rien lire sur le jeu avant d'y jouer, de "réviser" un peu le scénario de FF1, de bien lire tous les documents récupérés dans le jeu façon Resident Evil, et surtout de persévérer même si le scénario a l'air pourri pendant une bonne partie de l'aventure. Ca en vaut la peine

[Zamza]

Ca tombe bien, j'ai acheté ff1 et 2 Dawn of souls il y a peu, je pourrais refaire le 1 avant d'attaquer Strangers of paradise. ^^

[Manuwaza]

Ça me paraît être un très bon programme

[Manuwaza]

Terminé Stray. Quel OVNI ce titre made in France ! Incarner un chat dans un monde post apocalyptique et explorer une ville cyberpunk, la proposition est originale et m'a totalement happé, d'autant que le jeu est magnifique visuellement et sur le plan auditif. Le tout au service d'une histoire plus riche qu'il n'y paraît, avec quelques surprises bienvenues et une narration qui nous donne envie d'en apprendre davantage sur cet univers. Peut-être dans un futur Stray 2 ?

Le gameplay mélange un gros côté aventure avec des énigmes très simples, des séquences d'infiltration, des poursuites durant lesquelles il faut fuir des hordes d'ennemis, et quelques séquences d'action durant lesquelles on est doté d'une arme à l'utilisation extrêmement restreinte. Bien entendu, c'est le côté plate-forme qui est le plus mis en avant et exploite le côté félin du héros. Certaines zones plus étendues et ouvertes donnent l'occasion d'explorer à sa guise entre deux couloirs, une exploration pouvant être très verticale. Et ça demande d'oublier ses habitudes. Par exemple, une grille est un obstacle infranchissable dans la plupart des jeux, mais ici il suffit de passer à travers les barreaux.

Et il faut parler de ce petit héros qui n'a même pas de nom mais qui crève littéralement l'écran. Attachant, il noue une belle relation d'amitié avec un autre personnage ce qui donne naissance à quelques séquences vraiment touchantes. D'une manière plus générale, j'ai développé une grande empathie pour ce petit matou tout au long de l'aventure.

Une aventure assez courte finalement, pas très difficile (une bouffée d'air frais après avoir autant galéré sur Stranger of Paradise )... Une durée de vie qui augmente avec la collecte de nombreux bidules dans les environnements.

Je termine en précisant que les développeurs semblent être des fans de Retour vers le Futur : un personnage nommé Doc, qui parle de Gigowatt, et a un fils nommé Seamus portant une doudoune sans manches orange... La ref est plus qu'évidente^^

[karatais41]

J'en ai entendu que du bien de ce Stray 

[Manuwaza]

Bon, ça avait mal démarré, mais j'ai terminé la quête principale de Dead Island 2... Et finalement, eh bien on s'amuse plutôt bien dans ce second volet !

Dans un précédent post, je mentionnais plusieurs éléments qui me gênaient beaucoup et étaient à deux doigts de me faire abandonner.

Le premier, c'était la localisation des dégâts défaillante. Là, je reste sur ma première impression en nuançant tout de même un peu. Oui, ça m'a paru beaucoup moins précis et de fait bien moins utile en termes de gameplay que dans le premier volet, où on pouvait "facilement" couper les bras des ennemis plus puissants que la moyenne avec un peu de pratique pour se faciliter la tâche. En revanche, sur un plan visuel, on voit réellement les dégâts se produire en temps réel et c'est fun de voir un zombie avec la mâchoire qui pendouille parce qu'on lui a flanqué un gros coup de masse dans la tronche

Le second, c'était des ennemis qui repoppent trop vite. Et là non plus je ne change pas d'idée, car franchement dès qu'on a le malheur de passer un peu trop de temps à un endroit qu'on a préalablement nettoyé, on peut se retrouver pris d'assaut à nouveau. Et c'est chiant, surtout quand on est en train de chercher quelque chose pour une quête. 

Et le troisième, c'était une formule datée calquée sur celle du premier volet. Là aussi je maintiens, et pire, on retire des choses comme la conduite de véhicules. C'est répétitif, archi répétitif par moments. 

Mais pourtant, eh bien je me suis amusé sur ce Dead Island 2. En avançant, on rencontre de nouveaux types de zombies dont certains sont extrêmement difficiles à battre, et chacun a ses patterns à assimiler pour en venir à bout (les bouchers et les mutateurs sont de vrais cauchemars ambulants). Le jeu est parfois ultra difficile, mais on gagne en skill, tant le joueur que son personnage grâce à un système de cartes à lui équiper pour lui offrir des bonus (et via des armes customisables). Ça m'a d'ailleurs permis de troquer ma parade que je n'arrivais jamais à placer, contre une esquive à mon sens beaucoup plus simple à utiliser. Le gameplay est assez riche mine de rien, et le maitriser parfaitement demande de l'entrainement. Mais ensuite, on rentre totalement dans le délire à dégommer des zombies par dizaines, avec les têtes qui volent façon homerun. Le tout, possiblement à quatre joueurs, ce qui ajoute au fun.

Ah et le jeu est vraiment beau, avec une ville de Los Angeles (ou du moins ses endroits les plus emblématiques, puisque ce n'est pas un open world mais plutôt une concaténation de plusieurs grandes zones reliées entre elles) superbement représentée et des passages qui foutent une pression monstre quand on les parcourt (les égouts et le métro, notamment, sont magistraux sur ce plan). On en oublierait presque les bugs, du style personnage qui n'apparait pas à un endroit et bloque une quête (il faut alors relancer la partie), ou les zombies  "élastiques". Et pour couronner le tout, le scénario, sans pour autant être formidable, offre tout de même une explication sur les origines de l'épidémie tout en ouvrant une porte pour un éventuel troisième volet.

En résumé, un concentré de fun qui ravira tous ceux qui ont aimé le premier, et tous les chasseurs de zombies. Quand on voit ce que le jeu a subi pour enfin pouvoir sortir (il devait initialement être commercialisé il y a une dizaine d'années, rappelons-le ! ), le résultat est vraiment à la hauteur.

[Fullmasters]

J'ai enfin réussi l'ultime niveau de Mario Wonder , obligé de le faire 2 fois vu que je n'avais pas chopé le drapeau au plus haut pour le finir à 100%.
L'astuce pour ce niveau ultime vraiment très balaise et de se fier qu'au nuage sur le dernier passage qu'en on est invisible.

J'ai vraiment bien aimé ce jeu , inventif , rafraichissant , accessible (trop sent doute ).
Le seul petit reproche pour moi est que la difficulté n'évolue pas vraiment et l'on peut éprouver une certaine redondance au bout d'un moment.
A oui , une fois que l'on a fini tous les mondes , Bowser arrive un peu trop vite dans le jeu et surtout il est vraiment simple à battre.

Heureusement que le monde spécial vient rebooster le tout et mention spécial au niveau ultime en toute fin qui est complètement démoniaque, mais très jouissif quand on arrive au bout .

[Manuwaza]

Cette volonté de compléter le jeu à 100% m'avait un peu gâché l'expérience sur Super Mario Galaxy où j'avais voulu récupérer toutes les étoiles et où la répétitivité m'avait même carrément fait abandonner temporairement le jeu...

Pour ma part, je viens de terminer mon premier jeu PS5 qui, sans surprise, n'est autre qu'Astro's Playroom. Déjà je salue le geste de Sony qui offre le titre avec la console, d'autant que...eh bien il est très sympathique ce jeu de plate-forme ! Le challenge est pour ainsi dire absent (et le jeu très court, environ une petite demi-douzaine d'heures), mais le gameplay fonctionne bien et est très varié puisqu'en plus de la forme de base du personnage, on a des séquences avec des costumes qui offrent une grande variété. Surtout, ça permet de mettre en avant toutes les fonctionnalités de la Dual Sense, et ça le fait très bien.

Et puis ce jeu est une déclaration d'amour à l'univers PlayStation, que ce soit dans les artefacts à collecter, ou dans la myriades d'easter eggs qui parsème les niveaux ! Pendant toute ma partie, j'avais le sourire aux lèvres en découvrant toutes ces petites scénettes. C'est chouette, vraiment. Et il y a même un DLC...gratuit ! Oui, ça existe !

Bref, un gros coup de coeur pour ce jeu.

Sinon mes premières impressions sur la console. La quasi-disparition des temps de chargement apporte un vrai plus, mais il est vrai qu'on ne prend pas réellement une claque visuelle dans les jeux en comparant à la PS4 (je n'ai pas joué à beaucoup d'entre eux). Disons que c'est nettement moins marqué que quand on est passés de la PS2 à la PS3 par exemple. La Dual Sense est top, ils ont encore amélioré l'ergonomie depuis la Dual Shock 4 et elle tient désormais parfaitement en main. Au rang des bémols, je déteste le design de la console que je trouve incroyablement cheapos. Le plastique des panneaux blancs est souple (je redoute le vieillissement qui se traduira à mon avis par un jaunissement de l'ensemble), et c'est quoi ces deux bouts de plastique de m**** à clipser pour placer la console en position horizontale? Pour une machine qui coute tout de même 550€ (soit quasiment deux fois le prix de la PS4!), la moindre des choses aurait été de soigner un peu le design. Je ne comprends pas ce qu'il s'est passé chez Sony, c'était un sans faute jusqu'ici avec leurs machines mais la PS5 est à mon sens vraiment laide.

[Manuwaza]

Terminé Outcast : Second Contact. Remaster d'un titre que j'avais fini peu de temps après sa sortie sur PC et...quel grand jeu ! Je ne vous en dit pas plus, j'essayerai de vous pondre un petit test rapide dans les prochains jours, mais étant donné qu'il est en promo sur toutes les plates formes pour 1.49€ jusqu'à début janvier, foncez !

[Manuwaza]

Premier jeu terminé de 2024 : A Plague Tale Requiem.

J'avais adoré le premier dans son histoire, sa narration, et ses personnages attachants. Sa suite reprend la même recette avec quelques nouveautés. On est toujours dans des couloirs, mais on note quelques zones plus ouvertes dont une qui m'a un peu rappelé le Seattle de The Last of Us 2 (comprenez par là : beaucoup plus vaste et donnant beaucoup de place à l'exploration). Amicia, en plus de pouvoir améliorer son équipement, évolue aussi en fonction de la manière qu'on a de jouer (bourrin ou furtif) avec des compétences supplémentaires à la clé en fonction de la voie choisie. Une approche bien plus intéressante à mon sens qu'un banal arbre de compétences. On a aussi de nouveaux compagnons avec lesquels coopérer, ouvrant de nouvelles possibilités de gameplay.

Surtout, le jeu est d'une beauté impressionnante dans les décors, les personnages, les éclairages... C'est véritablement bluffant et ça sert une histoire admirablement construite qui nous fait nous ressentir une immense empathie pour ces deux enfants maudits. Amicia notamment, du haut de ses 15 ans, est traumatisée de tout ce qu'elle est amenée à vivre, et on la sent constamment à deux doigts de sombrer dans la violence et la soif de vengeance, emmenant son frère avec elle. C'est lui qui, toujours, lui permet de tenir. Ce jeu est vraiment d'une tristesse absolue, jusqu'à sa fin dont je ne vous révélerai rien mais...argh ! bref.

Un grand jeu pour résumer ! J'ai juste un peu de mal avec quelques aspects, notamment le dirigisme qui est beaucoup trop poussé par moments. Me faire bloquer par un caillou ou une touffe d'herbe parce que le jeu n'a pas prévu que je puisse aller par là, ça a tendance à me sortir de mon aventure. Mais ça parait bien peu de choses par rapport aux immenses qualités du soft. Et je suis très curieux de savoir quelle suite ils vont donner à la saga, qui pourrait s'arrêter là mais qui laisse quelques portes ouvertes pour prolonger l'histoire. Bravo Asobo, ça fait plaisir de voir un tel talent en France !

[Fullmasters]

Actraiser 2  pour moi , sachant qu'il faut le terminer en hard sur la version Française pour avoir la vrai fin.
Il y a quelque temps je l'avais fait en normal et l'à je l'ai repris en hard.
Que dire de se jeu!!!!!
Bon déjà il est très chaud , c'est pas pour les mous du pad .
Le jeu est superbe , épique , à classer à côté des Castlevania , Ghouls'n Ghost , démon crest .
Toute personne aimant cette série de jeu se doit de faire Actraiser 2.

Une bien belle exclu mentionné dans la dernière vidéo d'Hedge. 

[Killy]

Les derniers jeux que j'ai fini : 

Mario Kart DS.

Au détail : Toutes les coupes gagnées avec au minimum une étoile pour chacune d'elle, et ce dans tous les niveaux de difficulté. Même chose pour le mode mission, achevé à 100 % avec au minimum une étoile pour chacune des missions. Il n'y a que les fantômes des développeurs que je n'ai pas battu.
Sinon le jeu en lui même demeure très bon, encore de nos jours. Par contre il est mal dosé, si on est en tête trop longuement, on se mange carapace bleue sur carapace bleue, en particulier en mode miroir...

Dead or alive 5 ultimate, sur PS3. Pour moi c'est le meilleur jeu de combat de la PS3 et même de cette gen. J'ai complété à 100 % le mode Histoire et j'ai gagné au moins une série de chaque mode de jeu (survival, arcade, time arcade). Pour les trophées je vais rester à 88 % de fait, le reste est trop chiant à faire (faire TOUS les entraînements avec tous les persos, faire tout leur défi combo...).

International Superstar Soccer Pro sur PS1. Ca a très mal vieillit, je me suis contenté de gagner la coupe du monde (en même temps c'était soi ça, soit un genre de ligue mondiale, il n'y a pas de ligue des Masters et aucune équipe autre que des équipes nationales dans ce jeu.) dans la difficulté la plus élevée (tout simplement en "hard") pour voir la fin du jeu. Même pour une PS1, on est à des années lumières d'un ISS Pro Evolution 2, qui mettait tout le monde d'accord ou presque, sur cette gen' là. Mention spéciale au bruit métallique que fait le ballon quand on avance balle au pied avec un joueur... Et je ne parle pas des commentaires, aux fraises tout le temps ou presque (au moins ça rend l'expérience marrante mais ça devient un peu lourd quand même à la fin). Mon parcours de jeu : 7 matchs avec l'équipe de France pour finir par gagner contre les Pays Bas 3 à 2 en finale (après avoir été mené 2 à 0 !) Je me suis même pris une tôle en phase de poule à mon deuxième match par la Suisse (5 à 0 quand même !). C'est difficile de marquer, même pour des habitués de la série (il faut souvent se positionner dans un angle de la surface de réparation et lâcher une mine pour marquer, sinon bizarrement il est pas difficile de marquer sur coup franc, contrairement à d'autres ISS).
Sinon les joueurs n'ont aucune personnalité, aucune stats particulière et il est même impossible de les renommer.
Bref, jeu de foot à éviter en 2023, pour la nostalgie j'ai beaucoup plus d'espoirs pour quand j'attaquerai ISS Pro Evolution (mais pas avant un an ou deux...).

One Piece Pirate Warriors 2 (jap, psvita). Déjà fait il y a longtemps, je me suis contenté de refaire toutes les missions du mode histoire, y compris les 2 cachées pour avoir la vraie fin. Je l'ai refait via la PSTV pour le coup, manette de PS3 à la main, ça m'évite de devoir me déglinguer la vue sur console portable... Sinon le jeu en lui même est très bon et très complet pour quiconque aime les musou...

Mortal Kombat (Game Boy)
Je l'avais acheté à l'époque, dans mes souvenirs il était de qualité moyenne. En fait il est vraiment mauvais, le 2 le surpasse allègrement dans à peu près tous les domaines. Pour gagner facilement il suffit de donner un coup de poing en sautant, n'importe quel ennemi dirigé par l'ordi y passe. On n'a pas le choix de la difficulté, il n'y a que 6 personnages jouables (j'ai fait tout le jeu uniquement avec Liu Kang, j'ai vu les crédits avec lui, ça me suffit amplement pour me dire que je l'ai fini). Je l'ai fait sur mon Super Game Boy 2, en grand écran ça m'évite de m'arracher les yeux sur console portable.

Liste jeux terminés en 2024 :
Mario Kart DS
Dead or alive 5 ultimate (ps3)
ISS Pro (ps1)
One Piece Pirate Warriors 2 (jap, PS Vita)
Mortal Kombat (gb)

[Manuwaza]

Il n'y a pas beaucoup de jeux de foot qui ont bien vieilli, et particulièrement dans tous ceux qui sont sortis dans les débuts de la 3D^^