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C'est l'inverse de l'autre sujet avec les jeux rentables. Quelques sont donc les jeux que vous avez payés trop cher et en ayant peu joué ?
- Sur N64 : V-Rally qui fait partie de mes pires expérience, j'ai lâché l'affaire très vite à cause de sa prise en main,
- les Zinzins de l'espace sur Dreamcast : un ckick-play bien sympa, mais qui se finit assez vite et une fois fait bah... plus rien à faire dans ma logithèque, idem pour des jeux Disney de la Xbox360 comme "La-haut" ou "tempête de boulette de neige" qui sont axés plateforme/action.
- sur Switch : New Mario bros Deluxe, trop dûr, bien bien + que la version DS, j'ai totalement décroché au bout d'une matinée.
Les jeux où vous vous êtes senti entubés ?
Modérateur : L'équipe
Re: Les jeux où vous vous êtes senti entubés ?
Bonne idée de topic, effectivement la réciproque de l'autre manquait !
Ce qui me vient en premier à l'esprit, c'est Evil Dead sur PC (un jeu de la fin des années 90 de mémoire)...qui n'a jamais réussi à fonctionner. Avec le recul, c'était certainement à cause de ma saleté de carte 3DFX qui ne faisait pas tourner tous les jeux. Du coup, je suis aussi vite retourné au magasin pour l'échanger contre Max Payne, mais l'opération m'avait quand même coûté 30 francs à l'époque en plus du prix du jeu !
Sinon plus récemment, XIII remake. Bon lui, je triche un peu car je ne l'ai pas payé cher, mais alors que je m'étais motivé pour le terminer malgré ses défauts, j'ai eu tellement de crash que j'ai laissé tomber. Finalement, j'ai passé plus de temps à relancer le jeu avec les looooooooooooongs temps de chargement, qu'à jouer. Un cauchemar !
Me vient également Sonic Frontiers. J'étais déterminé à lui donner sa chance, et j'ai adoré les niveaux avec le gameplay 2D. Mais alors l'open world, quelle répétitivité... Toujours faire la même chose encore et encore, pour choper les items nécessaires pour faire avancer l'intrigue, puis recommencer... J'ai à peine tenu une dizaine d'heures avant d'abandonner, et pourtant je déteste ne pas finir mes jeux. Mais celui-là...
Mais la palme revient à Castlevania Lords of Shadow 2. J'ai eu l'idée géniale, au vu des visuels aguicheurs (et accessoirement de l'affection que j'avais pour le premier volet), d'acheter le collector de la honte à l'époque. Dégoûté en le déballant avec ses figurines toutes pourries qui ne tiennent même pas debout et son packaging s'apparentant à de la publicité mensongère, je l'ai été tout autant en commençant à jouer. Peut-être était-ce justement la douche froide du contenant qui m'a fait détester le contenu, mais j'ai à peine joué une heure avant de le remiser au placard pour ne plus jamais l'en ressortir. Je ne sais plus à combien était le collector à l'époque, mais je tiens clairement là mon pire rapport somme investie/temps de jeu
Ce qui me vient en premier à l'esprit, c'est Evil Dead sur PC (un jeu de la fin des années 90 de mémoire)...qui n'a jamais réussi à fonctionner. Avec le recul, c'était certainement à cause de ma saleté de carte 3DFX qui ne faisait pas tourner tous les jeux. Du coup, je suis aussi vite retourné au magasin pour l'échanger contre Max Payne, mais l'opération m'avait quand même coûté 30 francs à l'époque en plus du prix du jeu !
Sinon plus récemment, XIII remake. Bon lui, je triche un peu car je ne l'ai pas payé cher, mais alors que je m'étais motivé pour le terminer malgré ses défauts, j'ai eu tellement de crash que j'ai laissé tomber. Finalement, j'ai passé plus de temps à relancer le jeu avec les looooooooooooongs temps de chargement, qu'à jouer. Un cauchemar !
Me vient également Sonic Frontiers. J'étais déterminé à lui donner sa chance, et j'ai adoré les niveaux avec le gameplay 2D. Mais alors l'open world, quelle répétitivité... Toujours faire la même chose encore et encore, pour choper les items nécessaires pour faire avancer l'intrigue, puis recommencer... J'ai à peine tenu une dizaine d'heures avant d'abandonner, et pourtant je déteste ne pas finir mes jeux. Mais celui-là...
Mais la palme revient à Castlevania Lords of Shadow 2. J'ai eu l'idée géniale, au vu des visuels aguicheurs (et accessoirement de l'affection que j'avais pour le premier volet), d'acheter le collector de la honte à l'époque. Dégoûté en le déballant avec ses figurines toutes pourries qui ne tiennent même pas debout et son packaging s'apparentant à de la publicité mensongère, je l'ai été tout autant en commençant à jouer. Peut-être était-ce justement la douche froide du contenant qui m'a fait détester le contenu, mais j'ai à peine joué une heure avant de le remiser au placard pour ne plus jamais l'en ressortir. Je ne sais plus à combien était le collector à l'époque, mais je tiens clairement là mon pire rapport somme investie/temps de jeu
Re: Les jeux où vous vous êtes senti entubés ?
Difficile à dire comme ça, j'ai déjà évoqué quelques frustrations de jeunesse avec Rise of the robot ou Dbz Ultimate Battle 22 mais plus récemment, je dirais :
- Les chroniques de la guerre de Lodoss : Deedlit in Wonder Labyrinth : Ce n'est pas du tout un mauvais jeu, attention, gameplay et graphismes sympas, un Metroidvania très (trop ?) calqué sur Symphony of the night (Jusqu'à la démarche de Deedlit, pompée sur celle d'Alucard, mais admettons que ce soit là une référence). Hélas, le jeu s'est contenté du minimum syndical, très court (à peine plus de 6h pour voir la fin + la fin avec bonus 100%), trop facile, de vagues et lointaines références au manga d'origine. Moi qui espérait vraiment un chouette retour de la licence, j'étais bien déçu.
- Nier Automata PC : Là aussi, je ne vais pas parler des qualités intrinsèques du jeu mais de son horrible portage PC auquel Square nous habitue. Là, c'était purement scandaleux en terme d'optimisation, au point de devoir passer par un mod crée par un fan pour faire tourner le jeu sous de bonnes conditions. De mémoire, certains tests d'époque suggérait déjà l'utilisation de ce mod officieux.
- Capitaine Morgane et le trésor de jséplukoi : Bon, ne vous moquez pas ! Suite d'un point n click assez peu connu, "So Blond", écrit par l'auteur des chevaliers de Baphomet, le premier jeu est une sorte de grosse parodie de Monkey Island avec 36 000 références et un humour sauce "blonde", tout à fait plaisant. Après un deuxième opus qui est une sorte de revisite du premier et sorti sur wii (au grand dam des joueurs pc du 1), le troisième opus sortira à plein tarif en supprimant tout le côté grand public pour un jeu destiné aux enfants de 5-10 ans. Un choix incompréhensible.
- FF6 pixel remaster : Sur le papier, j'avais espéré qu'on reprenne tous les éléments du jeu d'origine et des différents remakes pour nous gratifier d'une "édition définitive" et... c'est loin d'être le cas ! Le contenu de la version gba est complètement amputé par exemple. Alors, on nous dira "ouiii mais le jeu a prétention à reproduire l'expérience snes", sauf que non, les différents ajouts tendent vers du remaster/remake, avec quelques scènes refaites comme la fameuse scène de l'opéra, les musiques réorchestrées pour un résultat en dent-de-scie ainsi qu'une partie du gameplay revisitée (les coups de Sabin ou de Cyan). Etait-ce si compliqué, pour ce prix, de faire, au choix, soit une version ultime avec tous les ajouts + petits bonus, soit une version purement fidèle à celle sur Snes ?
- Les chevaliers de Baphomet : the director's cut : Ou comment faire un remastered moins bon que le jeu d'origine ? Le projet avait la très bonne idée de reprendre le célèbre point and click en le gratifiant d'ajouts judicieux, par exemple, les quelques zones d'ombres dans l'histoire autour du personnage de Nicole Collard qui devient jouable ici. Seulement, ces ajouts démolissent la narration d'origine. La célèbre intro avec George n'intervient qu'après celle de Nico, coupant au passage la fameuse tirade "Paris en Automne..." accompagné du célèbre thème. L'ajout de ces nouveaux passages impliquent également l'intégration de nouveaux doublages en jeu, et certains doubleurs décédés ou à la retraite sont eux aussi retirés et remplacés. Ajoutez à cela, les lignes de texte d'époque grésillent horriblement et se détachent complètement des doublages récents. Certaines énigmes sont enlevées (la chèvre si je ne m'abuse) ou simplifiées, quelques scènes en dessin animé sont coupées et le jeu perd globalement tout de son panache.
- Les chroniques de la guerre de Lodoss : Deedlit in Wonder Labyrinth : Ce n'est pas du tout un mauvais jeu, attention, gameplay et graphismes sympas, un Metroidvania très (trop ?) calqué sur Symphony of the night (Jusqu'à la démarche de Deedlit, pompée sur celle d'Alucard, mais admettons que ce soit là une référence). Hélas, le jeu s'est contenté du minimum syndical, très court (à peine plus de 6h pour voir la fin + la fin avec bonus 100%), trop facile, de vagues et lointaines références au manga d'origine. Moi qui espérait vraiment un chouette retour de la licence, j'étais bien déçu.
- Nier Automata PC : Là aussi, je ne vais pas parler des qualités intrinsèques du jeu mais de son horrible portage PC auquel Square nous habitue. Là, c'était purement scandaleux en terme d'optimisation, au point de devoir passer par un mod crée par un fan pour faire tourner le jeu sous de bonnes conditions. De mémoire, certains tests d'époque suggérait déjà l'utilisation de ce mod officieux.
- Capitaine Morgane et le trésor de jséplukoi : Bon, ne vous moquez pas ! Suite d'un point n click assez peu connu, "So Blond", écrit par l'auteur des chevaliers de Baphomet, le premier jeu est une sorte de grosse parodie de Monkey Island avec 36 000 références et un humour sauce "blonde", tout à fait plaisant. Après un deuxième opus qui est une sorte de revisite du premier et sorti sur wii (au grand dam des joueurs pc du 1), le troisième opus sortira à plein tarif en supprimant tout le côté grand public pour un jeu destiné aux enfants de 5-10 ans. Un choix incompréhensible.
- FF6 pixel remaster : Sur le papier, j'avais espéré qu'on reprenne tous les éléments du jeu d'origine et des différents remakes pour nous gratifier d'une "édition définitive" et... c'est loin d'être le cas ! Le contenu de la version gba est complètement amputé par exemple. Alors, on nous dira "ouiii mais le jeu a prétention à reproduire l'expérience snes", sauf que non, les différents ajouts tendent vers du remaster/remake, avec quelques scènes refaites comme la fameuse scène de l'opéra, les musiques réorchestrées pour un résultat en dent-de-scie ainsi qu'une partie du gameplay revisitée (les coups de Sabin ou de Cyan). Etait-ce si compliqué, pour ce prix, de faire, au choix, soit une version ultime avec tous les ajouts + petits bonus, soit une version purement fidèle à celle sur Snes ?
- Les chevaliers de Baphomet : the director's cut : Ou comment faire un remastered moins bon que le jeu d'origine ? Le projet avait la très bonne idée de reprendre le célèbre point and click en le gratifiant d'ajouts judicieux, par exemple, les quelques zones d'ombres dans l'histoire autour du personnage de Nicole Collard qui devient jouable ici. Seulement, ces ajouts démolissent la narration d'origine. La célèbre intro avec George n'intervient qu'après celle de Nico, coupant au passage la fameuse tirade "Paris en Automne..." accompagné du célèbre thème. L'ajout de ces nouveaux passages impliquent également l'intégration de nouveaux doublages en jeu, et certains doubleurs décédés ou à la retraite sont eux aussi retirés et remplacés. Ajoutez à cela, les lignes de texte d'époque grésillent horriblement et se détachent complètement des doublages récents. Certaines énigmes sont enlevées (la chèvre si je ne m'abuse) ou simplifiées, quelques scènes en dessin animé sont coupées et le jeu perd globalement tout de son panache.
Re: Les jeux où vous vous êtes senti entubés ?
Le pire pour moi, c'est d'avoir payé plein pot à l'époque des jeux auxquels je n'ai quasiment jamais joué, même 20 ans après, comme Final Fantasy X-2 et Final Fantasy XII...
Re: Les jeux où vous vous êtes senti entubés ?
Bonjour,
Cela soulève également une question plus large sur la manière dont nous gérons nos achats et nos intérêts, surtout dans un monde où les distractions sont nombreuses et facilement accessibles. Parfois, cette tendance à acheter sans vraiment en profiter peut être liée à une sorte d'addiction, que ce soit à l'achat compulsif de jeux ou à d'autres formes de divertissement.
Cela soulève également une question plus large sur la manière dont nous gérons nos achats et nos intérêts, surtout dans un monde où les distractions sont nombreuses et facilement accessibles. Parfois, cette tendance à acheter sans vraiment en profiter peut être liée à une sorte d'addiction, que ce soit à l'achat compulsif de jeux ou à d'autres formes de divertissement.
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